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Comite Special Charge du Sahara Marocain en Europe
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Comite Special Charge du Sahara  Marocain en Europe
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5 novembre 2009

Le tissu associatif des droits de l'Homme

Le tissu associatif des droits de l'Homme dans les provinces du Sud rejette le dernier rapport de Human Rights Watch. "Le tissu associatif des droits de l'Homme dans les provinces du Sud" du Royaume a rejeté le dernier rapport publié par l'organisation "Human rights watch" concernant la situation des associations dans le Sahara marocain.

"Les nouvelles données publiées dans le rapport versent dans l'exagération", a indiqué le tissu lors d'une conférence tenue à Rabat. Dans une déclaration diffusée par la chaîne de télévision 2M dans son journal de mardi soir, M. Baba Ahl Mysara, président de la ligue des défenseurs des droits de l'Homme au Sahara, a affirmé que "le rapport de Human rights watch est outrancier", d'autant plus qu'il n'a pas mentionné des réalités tangibles sur le terrain.

" Il aurait été plus objectif pour Human rights watch d'évoquer l'existence sur le terrain de plus de 800 associations qui travaillent dans différents domaines", a-t-il dit, ajoutant que la ville de Laâyoune constitue, à cet égard, un exemple des plus éloquents.

Pour sa part, Taoufik El Bardiji, acteur des droits humains a dénoncé les gesticulations de supposées associations qui profitent du climat de démocratie au Maroc pour instrumentaliser la question des droits de l'homme à travers des prises de position politiques, dans l'espoir de réaliser des gains avec des procédés illégaux.

Les participants à cette conférence ont aussi condamné les actions d'un groupuscule qui fait la propagande de la thèse séparatiste et qui profite du climat d'ouverture démocratique au Maroc pour servir des agendas politiques de parties étrangères aux intentions notoirement démystifiées, a rapporté 2M.

Outre les associations des droits humains, culturelles et artistiques, la ville de Laâyoune connaît une nouvelle génération d'associations qui s'intéressent au développement économique et social et qui se consacrent à la lutte contre la pauvreté, la précarité et l'exclusion sociales.
L'ambassadeur de Suède à Rabat convoqué au ministère des Affaires étrangères

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taïb Fassi Fihri a convoqué, mercredi, l'ambassadeur de Suède à Rabat, M. Michael Odevald.

Au cours de cet entretien, M. Fassi Fihri a fait part à l'ambassadeur suédois d'"un manquement grave aux pratiques diplomatiques et d'une erreur professionnelle inadmissible commis par le Conseiller de l'ambassade de Suède à Rabat, Mme Anna Block-Mazoyer", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

Mme Block-Mazoyer, précise la même source, a transmis à des éléments séparatistes, liés à l'Algérie et au "polisario", un document officiel qui a été remis par le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération à l'ambassade de Suède à Rabat, dans le cadre d'une démarche diplomatique. "Ce document s'est retrouvé, par la suite, entre les mains des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume".

Le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération avait organisé le 9 octobre dernier, dans le cadre de ses briefings réguliers, une réunion consacrée aux derniers développements de la question du Sahara marocain, à l'attention des missions européennes accréditées à Rabat y compris celles de l'Union européenne, dont la Suède assure la présidence tournante.

M. Fassi Fihri a souligné que "la remise de ce document officiel par Mme Block-Mazoyer contrevient aux règles d'éthique et de professionnalisme diplomatiques qui exigent que le contenu des documents échangés soit destiné exclusivement aux autorités gouvernementales des pays représentés. Ils ne peuvent nullement être utilisés contre les intérêts du pays d'accréditation", souligne le communiqué.

"Pour toutes ces considérations, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a informé l'ambassadeur de Suède à Rabat que les autorités marocaines exigent le départ immédiat de Mme Anna Block-Mazoyer", ajoute la même source.
Le Maroc célèbre vendredi le 34ème anniversaire de la glorieuse marche verte

Le Maroc célèbre vendredi le 34ème anniversaire de la glorieuse marche verte, un événement de grande portée historique qui constitue une référence et une démarche inédite en ce sens qu'elle a permis l'affranchissement des habitants des provinces du sud du Royaume du joug de la colonisation espagnole par des voies pacifiques.

Fruit du génie créateur de feu SM Hassan II, cette glorieuse marche a suscité un élan patriotique inégalé pour le parachèvement de l'unité territoriale du Royaume, dès son annonce, le 16 octobre 1975, par le regretté Souverain, juste après la confirmation par la Cour internationale de justice de La Haye de l'existence de liens juridiques et d'allégeance entre les Sultans du Maroc et les tribus sahraouies.

Après avoir pris connaissance de cet avis, qui représentait une reconnaissance de la légitimité des revendications du Maroc pour le recouvrement de ses territoires spoliés, Feu SM Hassan II annonça, le même jour, l'organisation d'une Marche Verte pacifique qui a aussitôt suscité un écho retentissant et une adhésion fervente de l'ensemble du peuple marocain.

Le monde entier se rappelle comment le peuple marocain a répondu avec spontanéité et élan à l'appel royal de sorte que les listes des inscrits débordaient de loin sur le chiffre fixé de 350.000 participants.

Armés de leur foi en Dieu et du bien-fondé de leur cause première, les 350.000 volontaires (dont 10 pc de femmes), venant de toutes les régions du pays, se sont mobilisés pour cette marche libératrice qui démontra la ferme volonté du peuple marocain de récupérer son territoire.

Cette forte mobilisation, prompte et spontanée, témoigne aussi de la profonde sensibilité, jamais démentie, qu'éprouve le peuple marocain vis-à-vis des questions conditionnant son destin, notamment la question sacrée de l'intégrité territoriale.

C'est dans cette même optique pacifique et de concertation que le Royaume du Maroc avait présenté, le 11 avril 2007 au Secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, son Initiative d'autonomie pour les provinces du Sud, dont la conception et la finalisation procèdent d'une juste perception des spécificités et des considérations propres des populations de ces provinces. Une initiative qualifiée de "sérieuse" et de "crédible" par le Conseil de sécurité des Nations unies et qui a recueilli l'adhésion et le soutien de plusieurs organisations et puissances internationales notamment le groupe des Non alignés, l'Union européenne et les Etats-Unis d'Amérique.

De même, les efforts soutenus déployés hardiment par la diplomatie marocaine ont débouché sur un développement positif et substantiel. Il s'agit en l'occurrence de la reconnaissance par l'Organisation des Nations unies du caractère irréaliste et illusoire du séparatisme.

Parallèlement à cet effort diplomatique et politique intense, le Maroc s'est engagé, depuis le retour des provinces du Sud dans le giron de la Nation, à en faire une zone de stabilité, de sécurité, de progrès et de prospérité.

C'est pourquoi, il ne cesse d'oeuvrer avec détermination et abnégation pour le développement des provinces du sud afin de rattraper le retard cumulé durant l'ère de la colonisation et hisser la condition des habitants de ces provinces, fraîchement soustraits au joug colonial, à un niveau dont ils sont dignes.

Le Maroc a ainsi érigé en priorité le développement des provinces du Sud, en les dotant des infrastructures de base nécessaires à l'instar des provinces du Nord, le but étant de rompre l'isolement de cette région, de la hisser au diapason des autres parties du Royaume et de garantir bien-être, sécurité et quiétude à la population locale.

Les villes des provinces du Sud sont ainsi devenues de véritables centres urbains bien structurés et des pôles économiques prospères.

Cette œuvre grandiose se poursuit aujourd'hui, sous la conduite sage et éclairée de SM le Roi Mohammed VI, digne successeur de Feu SM Hassan II, avec la même ardeur, grâce à l'engagement patriotique sans faille de l'ensemble du peuple marocain, en particulier les fils des provinces du Sud, qui ont à cœur de conforter les acquis nationaux et de s'inscrire dans la dynamique de progrès et de renouveau que connaît le Royaume.

Ainsi, trente-quatre ans après leur retour dans le giron de la mère-patrie grâce à la glorieuse Marche verte, les habitants des provinces du Sud peuvent se réjouir du niveau du développement atteint à la faveur des projets socio-économiques d'envergure lancés ou réalisés par les pouvoirs publics avec la forte implication des compétences locales.

Les provinces du Sud se prévalent ainsi de toutes les conditions requises pour aller de l'avant dans la concrétisation du système de régionalisation voulu par SM le Roi et dont le Royaume a fait un choix irréversible pour une mise en valeur optimale des potentialités régionales et un développement harmonieux et équilibré de toutes les régions du Royaume, un développement qui prend en compte les spécificités locales et valorise au mieux le potentiel humain de chaque région.
Le HCR doit assumer ses responsabilités dans la protection des séquestrés de Tindouf (responsable marocain)

Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugies (HCR), doit assumer ses responsabilités dans la protection des séquestrés dans les camps de Tindouf, a affirmé M. Nasser Bourita, ambassadeur directeur général des relations multilatérales et de la Coopération globale au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

Intervenant, mercredi soir lors de l'émission "Moubachratane Maakom" (en direct avec vous), de la chaîne de télévision 2M, sur le thème : "la question du Sahara quels nouveaux défis?", M. Bourita a noté que les conditions d'enlèvement et de séquestration des personnes dans les camps de Tindouf font de ces dernières un cas unique dans le monde, précisant que ces personnes sont prises en otage.

Le HCR doit accomplir la mission qui est sienne dans les camps de Tindouf où sévit une situation tout à fait différente de celle existant dans les autres camps de réfugiés à travers le monde, a poursuivi le responsable marocain, qualifiant d'«inadmissible», la présence d'éléments armés aux côtés des personnes vivant dans les camps.

Il a réitéré, à ce propos, l'appel du Maroc, conformément aux résolutions du conseil de sécurité, en faveur d'un recensement des populations de ces camps pour assurer leur protection et définir leur identité et leurs besoins et partant trouver une solution adéquate à leur situation. Il a rappelé que l'Algérie refuse jusqu'à présent le recensement de ces populations pour des raisons futiles, se faisant ainsi responsable de cette situation humanitaire désastreuse.

M. Bourita a, en outre, plaidé en faveur du libre choix qui doit être laissé aux séquestrés des camps de Lahmada pour rallier volontairement la mère patrie en respect des conventions internationales des droits de l'Homme. Face au refus de cette demande par l'Algérie qui la conditionne à un règlement politique de la question du Sahara, le Maroc estime que ces personnes doivent se rendre dans d'autres pays en attendant leur rapatriement vers la mère patrie.

Les autres intervenants à cette émission, MM. Bachir Eddkhil, un acteur associatif et l'un des fondateurs du "polisario", Reda Taoujni, président de l'association le Sahara marocain, Ahmed Salem Latafi, membre du bureau politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS) et Mohamed Laamarti, Professeur et chercheur universitaire en droit international des réfugies et de l'émigration, ont mis l'accent, tour à tour, sur la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie au Sahara.

Ils ont noté, à ce propos, que la solution de cette question passe par trois éléments, à savoir les négociations, ce qui rend obsolète l'option du référendum dans sa forme classique basée sur des hypothèses dépassés et contradictoires.

Le second élément, ont-ils poursuivi, réside dans le fait que la solution doit être consensuelle, politique et réaliste, ce qui annule définitivement l'option de l'indépendance et fait en sorte que toute solution doit tenir compte du respect de la souveraineté du Maroc.

Le troisième élément, ont-ils ajouté, consiste en la conviction de la communauté internationale que la politique figée de l'Algérie et les obstacles qu'elle dresse devant le bon déroulement des négociations se répercute négativement sur l'intégration maghrébine et la coopération régionale notamment dans le domaine sécuritaire.
Le Maroc continuera à travailler en parfaite confiance avec l'ONU pour parvenir à une solution politique à la question du Sahara

Rabat- Le Maroc continuera à travailler en parfaite confiance avec l'ONU pour aboutir à "une solution politique, négociée, consensuelle, sérieuse, crédible et démocratique à la question du Sahara", a affirmé, jeudi à Rabat, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, M. Khalid Naciri.

"Le Maroc continuera à travailler en parfaite confiance avec l'ONU avec son secrétaire général, son envoyé spécial et avec le conseil de sécurité pour aboutir à une solution politique, négociée, consensuelle, sérieuse, crédible démocratique qui met un terme à cette tension dans la région maghrébine", a souligné M. Naciri lors d'un point de presse à l'issue de la réunion du conseil de gouvernement.

Interrogé sur la visite effectuée par certains individus dans les camps de Tindouf, le ministre a qualifié de "puéril et totalement irresponsable" ce comportement.

"L'ONU fait la distinction entre comportement responsable d'un Etat responsable qui a des dirigeants responsables qui s'appelle le Maroc et ce type de comportement puéril et totalement saugrenu absolument imprévisible d'un certain nombre de personnages qui ont montré jusqu'à quel point ils peuvent être déconnectés de la réalité internationale et du sens de responsabilité", a-t-il dit.

Et le ministre d'ajouter que "le monde entier, après avoir entendu ce que disent ces personnages, saura qui est l'élément de déstabilisation et qui est l'élément de stabilisation au Maghreb"

Un ancien diplomate américain souligne les avancées réalisées dans les provinces du sud

Washington, 29/10/09- L'ancien ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Michael Ussery, a mis en exergue, mardi à Washington, "les avancées réalisées dans les provinces du sud du Royaume", se réjouissant du "climat de liberté" qui y règne.

"Cette partie du Maroc a connu un grand développement au cours des dernières années", a affirmé le diplomate américain à l'occasion de la présentation d'un rapport du Comité américain pour les réfugiés et les immigrants (USCRI) sur les atteintes aux droits des pensionnaires des camps de Tindouf, dans le sud-ouest algérien.

M. Ussery, qui s'était rendu en juillet dernier dans les provinces du sud, a mis en relief "la liberté de mouvement et les conditions de vie dont jouissent les populations de cette région", en regrettant que les séquestrés des camps de Tindouf soient privés de leurs droits les plus élémentaires depuis plus de 30 ans.

"Les populations de Tindouf n'ont pas le droit de travailler, d'avoir des documents de voyage, de circuler librement où de quitter ces camps quand ils le désirent", a déploré M. Ussery qui a avait également occupé plusieurs hautes fonctions au Département d'Etat.

Evoquant les conditions difficiles prévalant dans ces camps, "situés dans l'une des régions les plus inhospitalières au monde", l'ancien diplomate américain a fait état de la poursuite du détournement des aides humanitaires destinées aux populations des camps de Tindouf.

"Le véritable ennemi de ces populations n'est pas le désert mais plutôt la combinaison de plusieurs facteurs dont le refus de l'Algérie d'assumer la responsabilité qui lui échoit et le contrôle par le polisario de tous les aspects de la vie quotidienne dans ces camps", a tenu à préciser M. Ussery.

Il a appelé, à cet égard, le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à avoir "une présence plus forte dans ces camps et à y exercer un plus grand contrôle".

Une ONG américaine épingle l'Algérie pour ses entraves au programme d'échange de visites du HCR

Washington, 29/10/09 - Le Comité américain pour les réfugiés et les immigrés (USCRI) a épinglé l'Algérie pour ses entraves au programme d'échange

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